Conclusion
La méthode analytique est très imprécise. Le fait que la hauteur de la vague soit très petite par rapport à la longueur d’onde,
il nous est difficile, même impossible de pointer toujours le même point de la vague. En plus il nous est des fois difficile de
voir la crête de la vague. Elle est si petite qu’on peut seulement estimer où se trouve le point.
La méthode avec la réfraction par contre nous donne des résultats semblables à ce que nous avons attendu d’une vague de tsunami.
Nous avons pu constater que la puissance du tsunami dépend du déplacement du point de déclenchement. Si la profondeur est trop
grande, la source n’a pas assez d’impact. Il faut donc que l’impact ne soit pas trop loin pour causer du danger. L’énergie se
dissipera sur toute la longueur d’onde et serait si bref qu’elle ne pourrait pas transformer la vague en tsunami. Aussi
savons-nous que la vitesse dépend de la profondeur. Quand la vague est au large et que la profondeur est grande, la vitesse
aussi est grande. Pour qu’un tsunami se développe, il faut donc une hauteur minimale qui va faire en sorte que le changement
de la vitesse au large et près de la côte soit assez grand pour faire lever la vague.
Pour qu’un tsunami ait lieu il faut donc des conditions « idéales ». Ce qui est surement la cause pour laquelle il n’y a pas
plus souvent des tsunamis. Il y a en permanence des séismes terrestres mais aussi marin. Mais un tsunami ne se produit pas si
souvent : Souvent ils ne sont pas assez puissants ou trop loin ou trop près de la côte pour en déclencher un tsunami.