Introduction
Dans le cadre de notre troisième année de physique à l'Université de Nice Sophia-Antipolis, nous avons effectué notre stage au Laboratoire de Physique de la Matière Condensée au sein de l'équipe « surface et interface », qui s'intéresse notamment à la conception de surfaces super hydrophobes à des fins industrielles.
Pour réussir à concevoir de telles surfaces, on a dû les caractériser pour cibler notre action. Ce type d'étude répond à différentes problématiques telles que de rendre un pare-prise super hydrophobe.
Une des problématiques de nos jours est de préserver le patrimoine en tenant compte des conjectures actuelles. Pour cela il faut traiter une surface non hydrophobe afin de la rendre super hydrophobe pour que celle-ci ne soit plus usée par l'eau.
Lors de la durée du stage, différentes surfaces ont été conçues puis caractérisées afin d'identifier leurs propriétés.
Dans ces exemples d'utilisations concrètes, on peut voir deux gants, dont un qui n'est pas sali grâce au traitement hydrophobe. On peut voir le même shéma pour les chaussures de marches. Enfin, on peut voir grâce au t-shirt qu'une surface peut à la fois être hydrophobe et oléophobe.
On peut alors se demander comment la composition chimique de la molécule d’un matériau et ses caractéristiques physiques (c’est à dire sa rugosité) influent sur les propriétés de mouillage du matériau. Afin de répondre à cette problématique, nous avons élaboré différentes surfaces bio-inspirées dont la composition moléculaire change, avec une rugosité plus ou moins importante. Puis nous avons caractérisé ces surfaces en étudiant leurs différentes propriétés. La dernière partie de l'étude consiste à comparer ces surfaces entre elles, pour connaître les données optimales à utiliser lors d’une conception de surface bio-inspirée.