Conclusion


Toutes nos méthodes sont basées sur la même démarche, décrite dans le protocole expérimentale, celle-ci consistant à repérer le canon par le son. Ces différentes méthodes d'exploitation de la démarche expérimentale nous donnent des résultats nous permettant de localiser le canon chacune avec ses avantages et ses inconvénients.

La méthode graphique nous permet de pouvoir donnée la localisation du canon avec de grosse incertitude, par rapport aux autres méthodes mais toutefois elle nous permet de nous faire une idée rapide de la position du canon et alliée à la méthode numérique par exemple elle nous permet de déduire la solution acceptable.

La méthode numérique nous donne une bonne précision même si, comme vu dans la partie « incertitudes liées aux points choisis », la précision dépend beaucoup de nos points initiaux; ainsi on peut choisir des points minimisant les incertitudes pour obtenir une plus grande précision en alliant ces deux méthodes.

Et enfin la méthode semi-numérique nous permet de nous faire une idée sur les solutions générale de l'équation MB-MA=cte, ces solutions sont de types hyperboliques, ce qui nous donne une multiplicité des solutions. Cependant cette méthode nous permet d'avoir une bonne image de nos losanges d'erreur représentant l'endroit ou pourrait se trouver notre canon.

Toutefois toutes ces méthodes sont basées sur une chose: l'entente du son. Cela peut causer des problèmes pour de nombreuses raisons (Bruit autours de l’observateur, Pluie …) Lors de la première guerre mondiale, le matériel ne permettait pas d'effectuer un calcul numérique précis, la méthode géométrique effectué avec attention était donc satisfaisante; mais de nos jours l'alliance de toutes les méthodes que nous avons étudié nous permettent de localiser le canon très précisément; nous rappelons aussi que nous le localisons par le son, sans le voir, ce qui est peu commun.