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Incertitudes liées aux points choisis
Etude des incertitudes experimentale
Conclusion
Annexe
Remerciements
Rapport
Introduction :
Le 23 mars 1918, des projectiles tombent sur Paris, ces derniers venus de nul part, étaient éjectés par un canon d'une porté incroyable pour l'époque, souvent confondu à tort avec la GROSSE BERTA, Ce canon possédait une porté de 126km et une vitesse d'éjection de 1600 mètre/seconde, ce qui le rendait l'un des canons les plus puissants et les plus mystérieux de l'époque. En quelques heures, cette nouvelle ahurissante du bombardement de Paris fait le tour du monde grâce au télégraphe et au téléphone, partout l'information est reçue avec étonnement et incrédulité.
C'est alors que différentes méthodes permettant de détecter et de localiser ce canon ont commencé à voir le jour. Une première tentative de repérage par triangulation était déjà connue à l'époque et elle avait le mérite d'être fort simple, mais exigeait deux observateurs, d'où l'on pouvait apercevoir l'objectif. Mais la méthode la plus efficace, même si peu connue encore à l'époque consistait à repérer le canon par le son. Nous développerons sur ce site internet une méthode permettant de localiser un canon par le son. Pour se faire nous nous servirons de celui de Nice qui tape tout les jours à midi.
On expliquera rapidement les bases de notre démarche, en abordant différentes approches: géométrique, numérique ou encore semi-numérique, ainsi que les applications que celles-ci peuvent avoir pour nous permettre de localiser le canon. Nous analyserons aussi les précisions que nous donne notre démarche. Et enfin on verra en détail les résultats obtenus en faisant le lien de chaque partie avec un plan de Nice.