Au cours de ce stage, nous avons appris à quel point les amas de galaxies peuvent être importants pour la compréhension de l’évolution de l’Univers. Ce sont les plus grandes structures découplées de l’expansion de l’Univers, on les considère comme de véritables traceurs de la matière. Il est donc particulièrement intéressant d’observer ou dans notre cas de simuler ces amas grâce à l’effet Sunyaev-Zel’dovich qui permet de sonder la pression et ainsi de pouvoir faire le lien avec leur masse. Par l'étude de trois amas différents nous avons montré les différentes possibilités apportées par notre modèle numérique mais également ses limites. En effet, le modèle utilisé lors de ce projet a été efficace pour des amas plus ou moins sphériques, mais inefficace dans d'autres cas. Comme expliqué précédemment, il est donc possible grâce à l’effet Sunyaev-Zel’dovich de connaître la masse d'un amas de galaxies si le redshift de celui ci est connu.

Pour aller plus loin et se rapprocher de la réalité, il serait nécessaire d’ajouter aux simulations du bruit (atmosphérique, électronique,…) et de prendre en compte certaines sources de contamination comme les galaxies radio et infrarouge.