Conclusion

Nous avons étudié dans notre projet la technique du pont capillaire. Cette technique représente une méthode précise pour la détermination des angles de contacts produits lorsqu’un liquide est mis en contact avec une surface solide. C’est donc un moyen efficace pour accéder aux propriétés de mouillage statique. Elle permet aussi l’étude de surface faiblement adhésives (faible hystérèse). Nous nous sommes intéressés à la formation d’un pont liquide entre un bain d’eau et des surfaces sphériques hydrophobes.
Afin de faciliter nos expériences, on a travaillé avec des surfaces qui ne diffèrent que par leurs RPM. C’est à dire l’épaisseur de la couche de polymère déposée par dessus les verres avec la méthode de spin-coating. Ceci a été réalisé dans le but de voir l’influence du RPM des surfaces sur les propriétés de mouillage. On en conclue que les différentes vitesses de rotation programmées pour les différentes surfaces ne changent presque pas les angles de contact qu’on mesure à des erreurs près. Cependant, d’autres facteurs qu’on a pas étudier peuvent modifier les propriétés de mouillage. Le travail est alors loin d’être fini, car il faut encore analyser la rugosité de ces verres. Elle concerne les défauts de nature différentes qui peuvent exister sur les surfaces. Ces mesures doivent être réalisées car on n’a pas d’idée précise sur la physicochimie de ces surfaces.