Nos trois lentilles sphériques ont été réalisées avec des vitesses de spin coating différentes. Pour chacune de ces surfaces, on va tracer les courbes représentatives de l’aire de contact en fonction de la hauteur du solide par rapport au bain d’eau, et voir en quoi le RPM des surfaces peut influencer. On les superpose sur un même graphe. Les tirages pour les différentes surfaces on été réalisés le même jour et avec le même bain d’eau. Comme mentionné plus haut, Le pont capillaire permet une mesure directe des angles d’avancée et de reculée. On pourra alors déduire l’influence du RPM des surfaces sur les propriétés de mouillage, connaissant les valeurs des angles de contact.
Superposition des courbes de l’aire
en fonction de la hauteur pour les 3 différentes surfaces. La rouge représente celle du PDMS 750 réalisé en premier, la bleue celle
du PDMS 350 mise en second , et la noir celle du PDMS 3000 réalisé en dernier.